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LGUYHAUTEVILLE01
26 mars 2018

La bonne nouvelle, message pour les temps de Pâques

B 2 la bonne nouvelle

Jésus de Nazareth à Jérusalem, merci Pascal Obispo

La Bonne nouvelle.

Elle est apparue en Judée par Jésus qui était le Verbe de Dieu selon saint Jean.

Le relais a été assuré par les apôtres, puis de pays en pays, elle est venu jusqu’à nous. Elle s’est répandue de bouche en bouche à travers les siècles.

Les moyens de sa diffusion ont été multiples, d’abord aux seins des foyers, puis des premières communautés, tantôt en plein air, tantôt sous terre lors des persécutions.

Puis elle a gagné les chapelles, les églises, les cathédrales.

Au moyen âge, elle a été proclamée sur les parvis quand on représentait, les mystères ou les jeux.

Elle a envahi l’imagerie dans les vitraux, ou les sculptures des édifices religieux.

Elle a été diffusée par les Pères de l’Eglise, les grands ténors dans les chaires de vérité, jusqu’aux modestes abbés dans les monastères et les simples curés des villes et des  campagnes.

Les croix ont envahi tous les chemins de France et les enclos paroissiaux de Bretagne. Des catéchistes  laïcs ont aidé à la propager.

Plus personne ne pouvait ignorer la bonne nouvelle.

Depuis quelques années, elle est devenue spectacle, au cinéma évidemment, mais Il faut aussi se rappeler le Jésus de Robert Hossein, le Jésus Super Star des américains. Le dernier en date est la fresque « Jésus de Nazareth à Jérusalem » crée à Paris, et qui est interprètée dans toute les villes de France.

Pour l’avoir vue à Marseille, nous pouvons dire que près de 3000 personnes ont communié à la « Bonne nouvelle » Cette  fresque offerte au public ne manquait pas de grandeur. L’évangile était respecté à la lettre, avec beaucoup de retenue et de simplicité. La mise en scène de Christophe Baratier et la musique de Pascal Obispo ont élevé le public à la hauteur nécessaire de la prière commune.

« La bonne nouvelle c’est Lui, la bonne nouvelle c’est nous ! » repris en chœur par le public était particulièrement émouvant, cela valait bien les psaumes et les cantiques que nous ânonnons bêtement quelquefois dans nos églises.

Ce Jésus s'achève sur un dernier chant : «  Le nouveau commencement  » explique que «  c'est comme si quelqu'un avait mis la lumière du monde dans le ciel de notre vie  ».

Cela fait du bien de voir que l’Evangile se propage toujours dans notre siècle de différentes manières.

Il appartient à chacun de nous de parler de l’Evangile, pas seulement le dimanche, mais dans tous les jours de notre vie.

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LGUYHAUTEVILLE01
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